On n’a besoin d’un avocat que pour nous sortir d’un problème ou bien d’éviter que la situation s’empire. Mais on a plus besoin de lui aujourd’hui pour ses conseils et sa médiation. Bien sûr, demande au juge de régler un litige garanti une grande impartialité. Cependant la justice manque cruellement de sévérité. La vulgarisation de la médiation et des règlements à l’amiable s’impose donc de fait. Le métier d’avocat converge bien avec celui de conciliateur.
La conciliation en dehors du tribunal
D’aussi loin que l’on se souvienne, durant les procès, le juge tentera toujours de régler à l’amiable un litige entre deux parties. Pour cela il écoute les arguments de chacune pour suggérer des solutions. Si elles acceptent, il n’y aura plus besoin de passer au contentieux. Les promoteurs du divorce par consentement mutuel s’inspirent donc de ce système pour privatiser le divorce. Cela signifie en d’autres mots que la séparation des époux devient une affaire entre auxiliaires de justice : le notaire et l’avocat. Beaucoup d’avocats se spécialisent dans ce domaine à l’exemple de huot avocat perpignan diplômée de l’Ecole de Formation des Avocats Centre Sud.
Le divorce chez le notaire avec l’avocat
Finalement, le notaire n’intervient que pour l’homologation de la décision de divorce. Il n’a pas son mot à dire lorsque les époux remplissent les conditions de forme et de fond du divorce. Il présente donc des aspects similaires aux Pacs. Mais les conséquences du divorce sont bien plus graves et importantes. On encourage donc les époux à trouver au plus vite une entente pour les effets de divorce. Pour cela, ils peuvent s’aider de leur avocat qui négociera avec celui de l’autre conjoint. Si les époux veulent bien se mettre d’accord sur le principe du divorce, il est plus facile de les amener à discuter sereinement des effets de la décision.